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En quoi puis-je vous aider?

01.

Traduction écrite

Tout texte, quel qu’il soit, se place toujours dans un contexte culturel. Une bonne traduction n’est pas la transposition de mots dans une autre langue (traduction mot à mot), mais est un travail soutenu et exigeant, parfois même, une œuvre d’art. Un bon traducteur se doit de connaitre à fond la culture de la langue qu’il traduit (langue source) et celle de la langue dans laquelle il traduit (langue cible). Le monde évolue et avec lui toute langue évolue également, s’adapte, se transforme, crée de nouveaux mots, de nouveaux concepts. C’est pourquoi un bon traducteur doit constamment apprendre, se mettre à jour, et suivre les développements et les innovations tant du monde que de ses langues de travail. Il ne suffit pas de parler deux langues. Pour produire une traduction qui n’ait pas l’air d’en être une, où l’effort du labeur investi ne se sent pas, le traducteur doit aussi savoir écrire, de même qu’il doit savoir se corriger et améliorer son texte pour atteindre une performance idéale.
Je traduis et j’écris aussi mes propres créations, tant en français qu’en hébreu (plusieurs ouvrages publiés). Mon meilleur atout : des racines profondes dans la culture française, dans laquelle j’ai grandi et qui m’a nourrie, et la culture juive et israélienne, tous registres confondus, dans laquelle je vis. C’est la meilleure garantie pour une traduction belle et fidèle sachant rendre toutes les nuances de l’original.

En me transmettant un document personnel pour une traduction, vous êtes sûrs de le remettre en de bonnes mains. Vous recevrez une traduction claire et précise et pouvez être assurés de mon respect des règles de confidentialité.

Le travail du traducteur de matériel commercial est de faire passer le message dans un langage fluide et convaincant comme si le texte avait été écrit dans la langue de la population cible. Car on ne s’adresse pas de la même façon à un public français, israélien ou américain. Le texte traduit doit être adapté à la langue et à la culture des consommateurs potentiels, ce qui exige à la fois fidélité et créativité. Ma compréhension profonde des deux cultures me permet non seulement le passage d’une langue à l’autre, mais aussi de jongler habilement avec les différents niveaux de langage en utilisant expressions idiomatiques, langue normative ou tournures familières, selon les besoins, pour que le message soit percutant.

Le jargon juridique dans le monde entier est une langue particulière, souvent hermétique au point qu’il semble parfois être destiné aux seuls avocats. Cette langue a ses particularités propres. Pour la traduire correctement, il faut une connaissance particulière de ce monde car une traduction imprécise peut avoir de graves conséquences.
Je ne suis ni notaire ni avocate, mais j’ai une grande expérience des traductions juridiques. Si je me heurte à une difficulté, je mène un travail d’investigation pour trouver les équivalences de langue, ce qui n’est pas toujours évident quand on sait que les systèmes juridiques diffèrent selon les pays.

Mon expérience vaste et variée en la matière, les chercheurs que j’ai traduits attestent de la qualité et du professionnalisme de mes traductions.

«Les traducteurs sont des corsaires. […] Quel est le travail du corsaire? Quand un bateau étranger lui plaît, il l’arraisonne, jette l’équipage à la mer et le remplace par des amis, puis hisse les couleurs nationales au sommet du plus haut mât. Ainsi fait le traducteur. Il capture un livre, en change tout le langage et le baptise français. Vous n’avez jamais pensé que les livres étaient des bateaux et les mots leur équipage?»
Deux étés, Érik Orsenna, éd. Fayard, 1997, p. 27

Votre langue n’est pas celle de vos petits-enfants et vous désirez écrire pour eux, leur conter l’histoire de votre vie ? Ecrivez sans compromis dans votre langue et je traduirai vers l’hébreu ou le français pour les générations futures. Si vous le désirez, je peux aussi vous aider à rédiger en français ou en hébreu.

La traduction de pièces de théâtre place le traducteur devant des défis et des difficultés particulières, découlant du medium particulier qu’est le théâtre. Le public qui vient voir la pièce entend la traduction et ne l’entend qu’une seule fois. Il ne peut revenir en arrière pour saisir quelque chose qui lui a échappé. Les dialogues traduits doivent donc être clairs, naturels. Souvent, par ailleurs, ce qui est évident dans un contexte culturel ne l’est pas du tout dans un autre. Il en est ainsi, par exemple, des coutumes juives ou des noms de plats. Certains concepts ne parlent pas sur le même registre à des publics différents. Un bon traducteur saura adapter, quand il y a lieu, soit replacer des scènes ou des éléments dans un contexte différent, et juger à quel point il y a lieu de rester fidèle au texte original.
Etant traductrice, férue de théâtre et comédienne, je suis sensible à ces défis et apte à les relever.

Traduire de la poésie est sans doute la plus grande gageure pour un traducteur qui doit se montrer à la fois fidèle et créatif, faire l’équilibre entre l’esprit et la lettre. Traduire un poème est le transcrire dans une autre langue, avec son rythme, sa musique, son atmosphère ; c’est préserver son essence, mais aussi savoir s’en éloigner, y introduire d’autres associations, d’autres jeux de mots, sans le déraciner de son contexte culturel.
Amoureuse du français et de l’hébreu, traduire des poèmes est pour moi le plus subtil exercice.

02.

Traduction simultanée ou consécutive

Il existe plusieurs types de traduction orale: la traduction simultanée et la traduction consécutive.

Traduction simultanée – L’orateur parle et, en même temps, l’interprète traduit pour ses clients qui entendent la traduction grâce à des écouteurs. Il peut y avoir une interprétation en plusieurs langues en temps réel. On pratique ce genre de traduction pour les congrès, les journées d’étude ou de formation où les intervenants et le public, ou une partie de celui-ci, parlent des langues différentes. Chaque auditeur, muni de son écouteur, peut alors entendre ce qui se dit, dans sa langue maternelle.
Dans certains cas, lors d’évènements où le nombre de participants est plus réduit et où une seule personne a besoin d’une traduction, l’interprète peut faire une traduction simultanée en chuchotant à l’oreille de son client. Une telle traduction se fait aussi au tribunal afin que le client puisse suivre les débats, mais elle doit être pratiquée sans que cela dérange les autres personnes présentes.

Traduction consécutive – L’orateur parle et au bout de quelques phrases, il s’interrompt pour que l’interprète puisse traduire ce qu’il a dit. Ce genre de traduction est d’usage dans des rencontres où les gens ne parlent pas la même langue, au tribunal ou lors de réunions d’affaire. La traduction consécutive ne nécessite pas d’équipement technique, ce qui réduit les coûts, mais la séance sera alors plus longue puisque tout ce qui se dit dans une langue est répété ensuite dans une autre, les participants entendant tous la prestation de l’orateur et celle de l’interprète.

03.

Correction

A textes différents, niveaux de correction différents.

La correction est un travail de relecture impliquant des corrections plus ou moins approfondies de fautes de syntaxe, de grammaire, d’orthographe et de ponctuation. Elle peut aller jusqu’à une réécriture, proposant aussi des améliorations de style, de vocabulaire ou de niveau de langue. La correction est aussi un travail de peaufinage consistant à vérifier la cohérence du texte et sa structure. C’est la garantie de la qualité du texte, tant sur le fond que sur la forme. Le correcteur fait le lien entre le rédacteur et le lecteur.

Mon but en tant que correctrice est d’améliorer le texte, de le rendre plus clair, plus lisible tout le respectant, en étant fidèle à l’esprit et au style de son auteur.  

Saviez-vous que les textes des plus grands auteurs sont eux aussi revus par un correcteur?

Et José Saramago dans Histoire du siège de Lisbonne va jusqu’à donner au  correcteur la possibilité non seulement de bouleverser le sens de l’histoire, mais 
…aussi celui de l’Histoire ! Mais ceci est déjà une autre histoire.

04.

Rédaction de contenu

Traduction de contenus numériques (sites internet, applications, etc.) et adaptation au marché local
On ne s’adresse pas de la même manière à des clients en France, au Japon, aux Etats-Unis ou en Israël. Ce qu’on appelle la localisation est l’adaptation d’un contenu à un environnement culturel spécifique. Car pour faire passer le message, il est crucial d’adapter son énoncé à la population à laquelle on s’adresse. Pour cela, il faut connaître les finesses, les références culturelles, les évolutions sociales, tous les registres de langage de la langue de laquelle on traduit (langue source) et de celle vers laquelle on traduit (langue cible), tenir compte des spécificités du marché local et faire preuve de créativité. Plus qu’une traduction de marketing, il s’agit de transcréation. C’est un outil de marketing indispensable sur un marché mondial.

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